Étant donné qu’on passe le plus clair de notre temps au bureau, il est primordial de travailler dans une ambiance détendue, de franche camaraderie.

Travailler de manière efficace et dans la bonne humeur, partager de bons moments avec ses collègues, c’est peut-être ça le bonheur au travail ?

 C’est en tout cas ce qui ressort des dernières études en la matière.

Malheureusement, ce qui en ressort aussi est que certains salariés baignent au quotidien dans une ambiance de travail tout sauf épanouissante : pression et stress au quotidien, chef se comportant comme un tyran, collègues mettant des bâtons dans les roues…

Ambiance au travail pas top ?

Comment reconnaître un travail où l’ambiance part en vrille ?

Que vous soyez déjà en poste ou en recherche active d’un nouveau job, prenez le temps d’identifier ces différents points.

Et s’ils s’avèrent vrais, vous pourrez passer en mode « alerte job à ambiance de merde ».

Le turn-over est élevé

Si vous avez remarqué dans votre entreprise ou dans votre équipe un nombre anormalement élevé de départs, c’est qu’il y a baleine sous gravillon.

C’est un indice qui ne trompe pas.

Oui, bien sûr, il y a des départs parce que changement de voie professionnelle, parce que départs à l’étranger, parce que opportunité d’évoluer, mais globalement, les gens ne quittent pas leur job par simple plaisir de le quitter.

Si le turn-over est élevé, c’est qu’il y a un climat de tension dans les conditions de travail de l’entreprise ou de l’équipe.

A l’opposé, si vos collègues forment une équipe soudée, qui travaille de concert, où la bonne ambiance rythme le quotidien, et qu’ils n’envisagent pas une seule seconde d’aller ailleurs, alors pas de doutes : Il fait bon vivre dans cette entreprise.

La réputation de l'entreprise laisse à désirer

Aujourd’hui, il est possible de tout noter sur internet : restaurant, magasin, qualité d’un service, au même titre que les conditions de travail d’une entreprise.

Des plateformes telles que Glassdoor, Viadeo ou LinkedIn permettent aux employés de noter leur expérience par rapport à leurs employeurs (passés et actuels) et ce de manière totalement anonyme.

Les langues peuvent donc se délier sans risque de représailles.

Prenez le temps de consulter ces avis, ils vous en diront énormément sur l’ambiance au quotidien de l’entreprise.

Et à moins d’aimer vous faire mal, fuyez les marchands de viande, notés à coups de lance pierres.

L'absentéisme est répandu

Si depuis quelques temps, l’absentéisme se répand telle une épidémie dans votre entreprise à grands coups de « réveil tardif », de congés maladie à répétition, ou de « le chien a mangé mes clés », pas de doute : l’ambiance est fortement dégradée.

De même, si vos collègues sont tous dans les starting blocks, pour être les premiers à partir à 17h, l’ambiance au travail n’est sûrement pas au beau fixe.

L'entreprise vénère le culte du secret

La circulation de l’information dans l’entreprise est un bon indicateur de l’ambiance au travail.

Plus l’ambiance est merdique, plus la rétention d’informations est forte.

Cela peut se concrétiser de plusieurs manières différentes : la Direction communique peu et est passée en mode « zéro transparence », les services ne communiquent plus entre eux et sont passés en mode « chacun sa merde », les collègues ne parlent plus de peur de se faire piquer des idées ou d’être critiqués, des informations contradictoires sont remontées sur un sujet donnée, etc…

A contrario, lorsque l’intelligence collective prend le pouvoir en entreprise c’est toujours bon signe.

Les rumeurs font partie du quotidien

Dans les entreprises qui tournent bien, les problèmes sont mis sur la table et on en discute sereinement afin de trouver des solutions.

Mais si le quotidien est rythmé par les non-dits, les clans qui ne s’apprécient pas, les rumeurs, c’est préoccupant.

Le favoritisme et le népotisme sont la norme

Vous ne comptez pas vos heures, vous vous investissez dans votre job, vous produisez du travail de qualité, et pourtant votre situation professionnelle reste désespérément la même : même poste, mêmes missions, même salaire.

Par contre, le fayot de service, incompétent au possible mais toujours prêt à vanter les qualités du boss, se voit proposer une promotion, reçoit des primes, etc…

Les managers, quant à eux, préfèrent promouvoir les incompétents et ceux qui suivront bêtement ce qu’on leur dira de faire sans se poser de questions, pour ne pas qu’on leur fasse de l’ombre.

C’est une situation révélatrice : soit le copinage règne dans l’entreprise, soit les règles conduisant aux promotions et primes sont inexistantes ou mal expliquées, soit les incompétents ont pris le pouvoir.

Dans tous les cas, ça contribue à dégrader fortement l’ambiance de travail.

La solitude règne

L’ambiance au bureau est bonne lorsque l’espace de travail est un lieu de sociabilisation.

Si chacun a les yeux rivés sur son écran dans un silence pesant pendant la journée, si vous prenez votre café seul dans votre coin, si vous mangez seul devant votre écran et que votre collègue d’en face fait de même, pas de doute possible, il y a quelque chose qui cloche.

Le chef est inaccessible

Si les managers s’enferment dans leur tour d’ivoire, se rendent inaccessibles, ne sont jamais disponibles et toujours en réunion, alors l’ambiance au travail peut être améliorée.

Si vous n’envisagez pas une seule seconde la possibilité de dire bonjour à vos supérieurs hiérarchiques, discuter d’un de vos dossiers ou d’une problématique que vous rencontrez, et proposer une idée, alors le manager ne tient pas son rôle, ses responsabilités et ses obligations.

La reconnaissance n'existe pas

Vous avez travaillé d’arrache-pied, vous avez fait des heures supplémentaires pour tenir les délais, et vous avez fourni du travail de qualité, mais malgré cela, vous n’avez pas entendu le moindre merci, la moindre reconnaissance venant de votre hiérarchie ?

Dans votre entreprise, ça semble être la norme : Pourquoi remercier quelqu’un pour le travail qu’il a fait alors qu’il est payé pour le faire ?

Votre entreprise n’a pas compris que reconnaître le travail et remercier pour le travail bien fait est important pour maintenir la productivité.

Sans cela, une situation délétère se crée, où frustration, incompréhension et morosité font partie du quotidien de tous.

La culture du bouc émissaire

Si lorsqu’un problème apparaît dans l’entreprise, avant même de chercher à comprendre ce qui a bien pu se passer, votre entreprise cherche un coupable, un bouc-émissaire, alors pas de doute l’ambiance de travail est absolument merdique.

On voudrait arrêter toute innovation dans l’entreprise, arrêter les prises d’initiative et démotiver totalement les collaborateurs qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

Accuser avant de comprendre, de chercher pourquoi et de solutionner le problème est typique d’une ambiance « Faites entrer l’accusé ».

Conclusion

S’épanouir au travail n’est déjà pas chose aisée, alors s’épanouir au travail dans une ambiance délétère relève de la mission impossible.

Une mauvaise ambiance au travail peut rendre votre quotidien pénible, peut influer sur votre santé, votre vie de couple, vos relations personnelles… Vous allez devenir désabusé, vous allez devenir de plus en plus frustré, jour après jour, semaine après semaine, et ça se ressentira tout autour de vous.

Je ne compte plus le nombre de personnes que j’ai pu croiser qui respire le malheur, la frustration et l’aigreur sur leur visage.

Croyez-moi, vous ne voulez pas devenir l’une d’entre elles.

Si vous ne voulez pas vous lever tous les matins avec une énorme boule au ventre, alors prenez votre courage à deux mains, et mettez-vous en quête d’un job où il fait bon vivre et travailler.

Thibault Baheux

A propos

Tour à tour manager et chef de projet depuis 2008, j'ai managé des équipes jusqu'à 40 collaborateurs, aussi bien en management hiérarchique direct qu'en transversal.

Manager des personnes, c'est la chose la plus compliquée que j'ai eu à faire dans ma carrière. Mais c'est aussi la plus passionnante !

Je partage avec vous sur ce site mes meilleurs conseils, mes retours d'expérience, ma vision du management d'aujourd'hui et de demain.

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  • Excellemment présenté, il manquerait peut-être un élément sur le mode d’organisation informel dans l’entreprise ou administration, à savoir les clans il peut y avoir des camps inamovibles, et dedans des clans c’est-à-dire la séparation structurel entre les individus comme le fait d’appartenir à un métier et puis avoir des Clans et dans les camps et dans les clans ils peuvent se faire également de façon ethnique culturel par l âge .. exetera donc l’ensemble des éléments s’organiser de temps en temps se désorganiser selon les circonstances avec des alliances selon les moments.c parfaitement le signe que vous êtes dans un endroit totalement pourri où il va falloir sucer des b**** ou alors se barrer

  • Bonjour,
    Effectivement, la formation de clans dans l’entreprise peut totalement nuire à l’expérience du travail, et inciter des salariés à partir pour aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.

  • Beaucoup de crève la faim dans les entreprises , l’insatisfaction est permanente le culte du toujours plus pour ma gueule ça marche a merveille , travaille en équipe les complications doublent avec les jalousies et autre frustration des « copains du travail ». Souvent un seul connard ou grande gueule peut faire capoté toute une collaboration .

  • C’est peut-être le cas dans certaines sociétés, c’est loin d’être une généralité. Tout ça m’a l’air bien négatif..; Du coup, on fait quoi pour améliorer les choses ? ou les changer ?

  • Je crois que j’ai connu la pire société (JCDecaux) et plus particulièrement la DSI ou l’ambiance de travail est la plus étouffante, angoissante ou le management est tyrannique limite sadique. C’est la première fois de toute ma carrière ou je préférais avaler un bol de glaire plutôt que d’y aller. Je l’ai quitté il y a quelques années et depuis toutes mes expériences sont un bonheur à coté de cet enfer

  • Face à un travail étouffant et angoissant, on n’a véritablement que 3 choix :
    1- L’accepter, et subir jour après jour
    2- L’améliorer, si tant est que cela est possible
    3- Le quitter, pour s’épanouir ailleurs

    C’était le bon choix !

  • Premier job et je le vie au quotidien. Ca me rend malade au point de ne pas reussir a me lever on me dit que des problèmes y en a partout mais quand le problème cest quil sengueule tous les jours cest abuser

  • Des problèmes il y en a partout certes, mais ça ne doit pas être une excuse pour accepter la désorganisation, l’énervement, et la mauvaise ambiance. Ces fameux problèmes, il faut les identifier, et travailler dessus pour les corriger.
    Et s’engueuler ça ne mène à rien. Mon conseil : s’ils ne sont pas capables de changer d’approche face aux problèmes, change d’entreprise ou de métier, car au quotidien ce n’est pas vivable

  • Très bonne analyse Thibault.
    J’ajouterai un indice de mauvaise ambiance. Quand les bons s’en vont et qu’ils ne reste que les stresseurs, les délétères et les autoritaires qui ne maitrisent rien.
    J’entends par bon, les normaux qui disent bonjour, sont conviviaux et bossent bien en toute simplicité dans l’échange et la communication.

  • Merci Luc pour le commentaire. J’en déduits que pour être « bon » selon cette définition, il y a encore pour certains (et certaines) du chemin à faire. Je note bien souvent que l’échange et la communication ne sont pas le fort des équipes et des organisations, d’autant plus lorsqu’il s’agit de projets transversaux

  • Je suis actuellement employé dans une petite structure où l’ambiance est vraiment étouffante, sadique, une nuisance inexplicable pire encore c’est mon premier job et je suis même traumatisé du point que j’ai peur de pouvoir vivre la même chose ailleurs. Mais je supporte ça par ce que que je n’est pas encore trouvé un autre job.

  • Tout cela ne me parle que trop, malheureusement…. Et face à ces ambiances délétères, j'ai toujours pris le parti de fuire, sauf qu'aujourd'hui, je me retrouve avec un CV très instable et des démissions tous les 2 ans. Est-ce qu'inconsciemment, j'attire ce genre d'entreprises? Est-ce seulement de la malchance que d'atterir à chaque fois dans ce genre de structure? Ou peut-être est-ce moi qui ne supporte aucune tension en terme d'ambiance? En tout cas, de quoi se poser des questions mais aussi désespérer de trouver un jour la boîte où je serais enfin bien…

  • Bonjour Karine,

    Fuir une ambiance de travail délétère, sclérosé, et impossible à améliorer, c’est pour moi la bonne solution. Rester si tout n’est pas parfait, pourquoi pas, tant qu’il y a une marge d’amélioration possible. S’il n’y a aucune possibilité d’améliorer l’ambiance au quotidien, partir vers de nouveaux horizons reste la meilleure solution.

    Je voudrais vous rassurer concernant votre CV : changer de job tous les 2 ou 3 ans ne donne pas une mauvaise impression de vous je trouve. Au contraire, vous montrez que vous n’avez pas peur du challenge, d’apprendre de nouvelles choses, de nouvelles manières de travailler. Le changement ne vous fait pas peur. Vous pouvez clairement le mettre en avant !

    ça et le fait que vous avez connu de nombreuses expériences de travail différentes, de manières de travailler, sûrement de contextes différents aussi. C’est quelque chose je trouve de valorisant. Egalement à mettre en avant.

    Alors oui, peut-être que cela déplaira à certains recruteurs, mais est-ce vraiment des personnes avec lesquelles vous auriez envie de travailler dans ce cas ?

    Concernant les questions que vous vous posez, je les connais bien, pour être passé par là moi-même.
    La première des choses serait de prendre du recul sur la situation et de réfléchir à ce qui vous fait fuir. Est-ce que c’était la même chose encore et encore. Est-ce des choses différentes ?
    Cela vous permettra de dresser une carte de ce que vous ne voulez plus voir en entreprise, ce qu’au contraire vous souhaitez voir dans votre job idéal, et les points sur lesquels vous êtes prête à lâcher du lest.

  • Oh, j'ai connu ça! Chez Anios. Quelle horreur! Ce n’était pas ma première boite, mais mon premier CDI, alors j'y suis restée 8 ans, trooooop longtemps !
    Je suis arrivée dans un service où il y avait des clans. Il y avait les chouchous du chef, et les autres, corvéables à merci, à qui on changeait les postes à volontés quand les chouchous n’étaient jamais dérangées dans leurs routines. Les chouchous avaient les congés aux dates souhaitées au détriments des autres… Les chouchous passaient leur temps à bavarder, y compris avec le chef de service, à critiquer le travail des autres (ce qui est cocasse car elles-mêmes ne produisaient rien de valable), à lancer des rumeurs sur les collègues,… J'ai fait les frais de tellement de rumeurs, moi qui faisait tout pour rester en dehors des clans, j'ai passé un temps incalculable à essayer de prouver par A+B que les rumeurs étaient fausses, mais c’était du temps perdu car une autre rumeur arrivait le lendemain… Et on se tirait dans les pattes constamment.
    La devise dans le service était "Au moins j'en fais, au mieux je me porte", sauf que ce n'est pas ma vision du travail. Je ne comprenais pas que je puisse faire allègrement 10 analyses là ou mes collègues se disaient dé-bor-dés quand ils en faisaient 3. Je ne comprenais pas que malgré la quantité et la qualité de travail que j’abattais, je n'obtenais jamais d'augmentation, alors que celles qui ne faisaient que bavarder pendant des heures obtenaient ce qu'elles voulaient. Je pensais très naïvement qu'en travaillant bien je serais récompensée, mais non, aucune augmentation de salaire en 8 ans!
    Les RH se fichaient royalement de l'ambiance délétère du service.
    Mon chef était un incompétent patenté, fuyant les conflits, adorant les ragots, au même poste depuis plus de 15 ans, autant dire au placard, et il s'est retrouvé complètement dépassé quand son équipe est passé de 4 techniciens à 8 techniciens en quelques mois suite à l'ouverture d'une nouvelle unités de production. Sa technique était : "diviser pour régner".

    J'ai fini par faire un bilan de compétences, j'ai cherché à me former à un autre métier, et j'ai obtenu le financement pour une formation de 1 an, tout en conservant mon poste. J'ai eu mon diplôme, j'ai repris mon poste quelques mois le temps de chercher un autre boulot. Et puis un jour j'ai signé une rupture conventionnelle, et j'ai trouvé du boulot dans un autre domaine. Je suis tombée dans un service EXTRA. Et puis j'ai trouvé un autre poste, et je suis tombé dans un autre service EXTRA! le travail me plait et j'y travaille depuis déjà 5 ans.

    Une mauvaise ambiance de travail peut peser lourdement sur votre moral et sur votre santé et ce n'est pas anodin. Un peu avant mon bilan de compétences, j'ai été en arrêt maladie 3 mois, et on m'a prescrit des anti-dépresseurs! Ce n'est pas normal! Je me disais que je n’étais pas normale, que la mauvaise ambiance dans le service venait de moi (faut dire que mes collègues et mon chef me l'ont bien fait comprendre), je me suis remise en cause… mais j'ai fini par me rappeler qu'avant d'arriver dans cette boite, j'avais travaillé dans 4 autres boites, où tout allait pour le mieux et où mes chefs et collègues étaient contents de mon travail. Je suis d'ailleurs toujours en contact avec certains collègues d'il y a 20 ans! Je me suis aussi rappelée que dans cette même boite de malheur, je m'entendais à merveille avec les collègues des autres services, et ils appréciaient travailler avec moi, d'ailleurs ils s'adressaient toujours à moi s'ils voulaient que ça avance, et c'est grâce à eux que j'ai su tenir 8 ans dans cet enfer!

    Bref, parfois on n'ose pas changer car on se dit qu'on risque de trouver pire ailleurs. Certes, c'est un risque. Dans mon cas, je regrette amèrement d’y être restée aussi longtemps, jusqu'à perdre ma santé à essayer de changer les choses. Mais on ne peux pas changer les gens, et dans mon service, ils étaient tous toxiques (et abrutis). Je suis bien contente d’être sortie de ce panier de crabes.

  • Merci beaucoup pour ce retour d’expérience.
    Par rapport au fait de regretter d’y être resté aussi longtemps, je pense sincèrement qu’il ne faut pas le regretter.
    C’était une étape dans votre vie, vous avez appris une leçon importante, et cela vous permet maintenant d’être épanouie dans votre job.
    Et puis, c’est une expérience passée, donc on peut la regretter amèrement, on ne pourra pas la changer. Donc la seule solution qui nous reste, c’est de l’accepter.

    la clé, je pense, c’est d’être soi-même en entreprise, et d’être honnête avec soi-même, peu importe ce que disent les autres dans notre dos. Toutes ces rumeurs sur vous sont nées je pense, car vous dérangiez le bon ordre établi du « moins j’en fais, mieux je me porte », certains / certaines ont pu se sentir en danger sur leur poste, etc.
    Mais au final, c’est vous qui avez raison dans votre comportement : vous tracez votre route, vous faites en sorte d’être épanouie au quotidien.
    Quant à eux, ils continuent à faire circuler des ragots, à critiquer, à vivre dans la négativité. Ce n’est pas un climat de confiance, et même s’ils forment un clan « critique », ils n’ont aucune confiance les uns dans les autres, puisque si on dit ça sur untel, on peut le dire sur moi dans mon dos.

  • […] Un manque de clarté, ou de transparence, dans la communication résulte en une information tronquée, altérée, et à toutes les chances d’entraîner une compréhension erronée du message d’origine. Mauvaise compréhension qui, du coup, se traduit par une mauvaise application de la consigne, car trop vague ou trop ambigüe. Le manque de clarté peut ainsi amener les destinataires de la communication à comprendre l’inverse de ce que le communicant a voulu dire. Cette problématique de communication engendre en général des conflits et dégrade l’ambiance au travail. […]

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